Roger va jouer contre le Russe Evgeny Donskoy, 116ème au classement ATP. Ils ne se sont pas encore joués. Come on RF. Bien continuer le tournoi. Good luck.
Roger va jouer contre le Russe Evgeny Donskoy, 116ème au classement ATP. Ils ne se sont pas encore joués. Come on RF. Bien continuer le tournoi. Good luck.
Roger a battu 6-1;6-3 en 0h54 le Français, il a fait 5 aces, le pourcentage de son premier service était de 60% et il a gagné 70% des points dessus. Il a fait un bon match de reprise.
Roger va jouer contre le Français Benoît Paire, 41ème au classement ATP. Ils se sont déjà joués 3 fois et Roger a gagnés les 3 dernières. Come on RF. Bien commencer le tournoi. Good luck.
Roger va jouer au moins jusqu'en 2019 étant donné qu'il a signé pour 3 ans pour le tournoi de Bâle. C'est une super nouvelle. Cela fait tellement de bien de le voir jouer et jouer et jouer. Alors va-t-il jouer les JO de Tokyo quelques mois après? J'espère qu'il les ferra. En tout cas, c'est une excellente nouvelle pour tous ses fans.
Est-ce que votre victoire à Melbourne revêt une importance particulière à vos yeux ?
RF:"Certainement.
J'ai beaucoup donné durant les dernières années, mais j'ai eu pas mal
de problèmes au dos, puis au genou. Quatre ans et demi ont passé sans
que je puisse remporter un tournoi du Grand Chelem, alors que je me
sentais plutôt bien dans mon jeu, jusqu'à ce come-back qui a forcément
une saveur spéciale pour moi. C'était presque encore meilleur que dans
mes rêves : au cinquième set, contre Nadal, à 35 ans ! Surtout, ce qui
m'a peut-être le plus marqué c'est l'écho exceptionnel que ce match a
rencontré un peu partout."
Comment faites-vous pour rester au sommet depuis si longtemps dans un sport si exigeant ?
RF:"Depuis
2004, je travaille avec Pierre Paganini, mon entraîneur physique, qui
m'a fait promettre, quand je suis devenu numéro 1 mondial, d'être
sélectif, de ne pas courir après tous les titres et faire tous les
tournois. C'est important pour rester frais mentalement. Avec mon coach,
Severin Lüthi, et ma femme, toute l'équipe est sur la même longueur
d'onde. J'ai toujours produit mon meilleur tennis les années où je me
donnais du temps pour m'entraîner. J'ai cette chance de retrouver très
vite le rythme de la compétition, même après un assez long break. Après
mille et quelques matchs, on est forcément plus fragile que dans le
passé, et il faut savoir en tenir compte."
C'est décisif un coach ? Vous vous en êtes pourtant passé à une époque...
RF:"Oui,
en 2004, je suis resté presque un an et demi sans coach, l'année où
j'ai gagné trois tournois du Grand Chelem. Je n'avais pas d'agent non
plus. Mais tout avait été mis en place avant. J'ai géré avec ma femme,
mes parents et mon avocat. Ça m'a fait grandir, prendre mes
responsabilités, mais ce n'était pas durable."
Êtes-vous
conscient que, dans un match, vous entrez à certains moments dans une
sorte de transe, d'état second, et qu'alors, comme dit Nadal, plus rien
ne peut vous arrêter ?
RF:"Je pense que tous les grands athlètes
connaissent un peu cela quand ils commencent à dominer leur discipline.
Ce sont ces moments où l'on sent que l'on prend le dessus sur
l'adversaire et que plus rien ne peut vous voler la victoire. On devient
plus décontracté, on prend plus de risques, alors que l'autre s'échine à
revenir au score. Ça n'arrive pas très souvent, il faut quand même
aller très loin dans un tournoi, face à un concurrent très fort, pour
que ça se produise. Je suis sûr que Nadal a aussi connu de tels états."
C'est le joueur avec lequel vous aimez le plus vous retrouver ?
RF:"Je
ne dirais pas « aimer ». C'est le plus grand challenge pour moi. À
cause de son style de jeu de gaucher, sa façon très naturelle de jouer,
qui m'empêche souvent de pratiquer mon jeu classique. Je pense toutefois
que Novak Djokovic est aussi un adversaire coriace. Et d'avoir joué
treize fois contre Andre Agassi m'a énormément appris."
Quel est le joueur qui vous a donné envie de faire du tennis de compétition ?
RF:"Pour
moi, c'était Boris Becker et Stefan Edberg. Je les ai vus jouer dans
mon salon à Bâle. Plus tard, ce fut Pete Sampras. J'ai joué mon premier
match contre lui, et le seul, en 2001 à Wimbledon, à 20 ans : je l'ai
battu en huitième de finale. C'était irréel pour moi d'entrer sur le
court central pour jouer contre celui qui avait été mon idole. Je me
suis dit : c'est pour vivre des moments comme celui-là que tu
t'entraînes si dur et que tu as choisi le tennis."
Vous avez créé
une fondation, mais vous vous refusez à parler politique. Vous
sentez-vous tout de même concerné par ce qui arrive dans le monde ?
RF:"La
politique mondiale m'intéresse, bien sûr. J'aime parler avec les
Français de ce qui arrive en France, avec les Américains de ce qui se
passe chez eux, et évidemment de la Suisse en Suisse. Le feeling des
gens m'importe beaucoup. Il y a pas mal de choses qui se passent en tout
cas en ce moment. La Fondation, je l'ai créée il y a onze ans. Elle a
reçu déjà 30 millions de francs suisses. Elle vient en aide à
l'éducation des jeunes enfants, à l'origine en Afrique du Sud. Cette
action m'a été inspirée par ma mère, qui est Sud-Africaine. J'ai voulu
très tôt faire partager ma chance. Je crois que l'éducation, c'est un
bien que l'on reçoit à vie. On veut essayer d'aider 1 million d'enfants
en 2018."
Et maintenant, cap sur Roland-Garros ?
RF:"J'ai
le privilège maintenant de m'en tenir à des programmes préétablis. Je
joue un peu moins que lorsque j'avais 23 ans. Je vais faire quinze
tournois cette année. J'ai mal vécu l'an dernier de ne pas pouvoir jouer
à Roland-Garros à cause de mon genou alors que j'étais à Paris. Je me
suis retrouvé devant mon miroir, incapable pour la première fois, sur 60
tournois d'affilée, de poursuivre un Grand Chelem. C'est pour ça que je
veux tout faire pour être de retour à Roland-Garros cette année."
Roger jouera un deuxième match exhibition contre l'Écossais Andy Murray cette année après Zurich prévu le 10 avril, le deuxième match aura lieu le 07 novembre à Glasgow, en Écosse.
Adrien Bossel et Henri Laaksonen ( à droite) ont été battu (3)6-7;3-6;(5)6-7 en 2h15 par la paire Américaine composée de Steve Johnson et de Jack Sock (à gauche). Les Suisses menaient 5-3 dans la 3ème manche, mais ils se sont fait rattraper. Les Américains mènent 3-0, ils se qualifient pour les quarts contre l'Australie. Les Suisses eux devront passer par les barrages, à part 2014, ils l'ont toujours été.
Premier tour de la Coupe Davis en 2017 opposant les États-Unis à la Suisse. Pour la première rencontre, ça sera Jack Sock (USA) (20ème mondial) contre Marco Chiudinelli (SUI) (146ème mondial). Ils se sont déjà joués 1 fois à l'US en 2010 et victoire de Marco en 4 sets. (photo1)
Il y a tout juste 13 ans, Roger devenait numéro 1 pour la première fois suite à sa première victoire à l'Australian Open. Il est resté à cette place durant 237 semaines consécutivement ,ce qui constitue un record,jusqu'au 18 août 2008. A ce moment là, Roger ne comptabilisait que 2 Grand Chelem: Wimbledon 2003 et Australian Open 2004 et 12 titres en tout. Depuis, Roger a gagné 16 autres titres du Grand Chelem dont le dernier est l'Australian Open 2017 et 77 titres en plus. Le 02 février 2004 marqua l'ère Federer, mais quel bonheur de le voir toujours au top. Vivement son prochain tournoi.
Les jumeaux ont 10 ans aujourd'hui! ici avec toute leur famille! joyeux anniversaire à eux! 💗💗