Toujours aussi beau
Roger est nommé pour les Swiss Sports Awards. Il a déjà obtenu ce titre 6
fois: 2003-2004-2006-2007-2012-2014. L'aura-t-il cette année?
Cela
fait 10 mois qu'il gagnait l'Open d'Australie et 1 mois le tournoi de
Bâle. Ça a été vraiment une année somptueuse, merveilleuse. Encore Merci
pour cette sublime année.
Sur dur:708 victoires (record) en 851 matches pour 65 titres (record)
Sur gazon:164 victoires (à 6) en 188 matches pour 17 titres (record)
Sur terre battue: 214 victoires (à 445) pour 11 titres
Sur carpette: 46 victoires pour 2 titres
Roger est devenu docteur honoris causa de la Faculté de médecine de
l'Université de Bâle. Il est honoré pour son rôle modèle de sportif
incitant de nombreuses personnes de par le monde à s'adonner à une
activité physique et donc à prendre soin de leur santé.
L'Université
bâloise a également mis en exergue le comportement "exemplaire" du
joueur et son engagement en faveur des enfants défavorisés en Afrique,
dans le cadre de sa fondation.
Roger est nommé pour la personnalité de l'année 2017 pour la BBC.
Roger a servi cette année 550 aces, il est 10ème du classement. En tout, il en est à 10284 aces, à 2018 aces du record détenu par le Croate Ivo Karlovic.Il passe 62% de premières balles, il gagne 77% des points sur sa première et 57% sur sa deuxième. Il gagne 89% des ses services et 69% de ses points au service.
Le 22 novembre 2014, il y a 3 ans, les Suisses de Roger Federer et de Stan Wawrinka battent en 3 les Français Julien Benneteau et Richard Gasquet. C'était un match somptueux. Après, ce match, la Suisse mène 2-1.
Le lendemain, Roger bat facilement Richard en 3 sets et il entre un peu plus dans l'Histoire du tennis. Cela reste un moment inoubliable. Merci les Suisses. 😍😍
Les larmes ont coulé sur ses joues. Une première fois après avoir levé
les bras au ciel dans un geste de victoire. La deuxième lorsqu'il a
compris, sur le podium, que le dieu vivant du tennis, Rod Laver, se
tenait debout à côté de lui et s'apprêtait à lui remettre son
dix-huitième trophée du Grand Chelem. Oui, dix-huit. Roger Federer
n'avait pas besoin de cette nouvelle victoire en finale de l'Open
d'Australie (6/4, 3/6, 6/1, 3/6, 6/3 en 3 h 38 contre Rafael Nadal) pour
écrire sa propre légende. Il y a belle lurette que l'on n'utilise plus
que des superlatifs pour le décrire, lui et son tennis. Le «Goat» (Greatest of all time), le «Master» ou même simplement «Roger» : pas besoin de davantage de mots pour que tout soit dit.
Mais si sa légende n'en avait plus besoin, l'homme, si. Plus que tout. «C'est quelque chose qu'il a en lui, confirmait après la finale l'ancien joueur Arnaud Boetsch, qui compte aujourd'hui parmi les proches du Suisse. Le
gagner tout de suite en Australie, je ne pensais pas qu'il y croyait,
mais oui... les victoires en Chelem, il a vraiment ça en lui.» Ce
«18», le Bâlois lui courait après depuis Wimbledon 2012, date de son
dernier triomphe dans un tournoi majeur jusque-là. Si les autres
doutaient qu'il puisse un jour de nouveau tutoyer les sommets – trop
vieux, trop lent, plus assez puissant – lui était persuadé que son
tennis était toujours là et, qu'à force de travail, il y aurait un jour,
prochain, où cela passerait de nouveau. Depuis plus de quatre ans,
Grand Chelem après Grand Chelem, il n'avait cessé de le répéter. Vu la
qualité du spectacle produit au dernier jour de l'Open d'Australie, il
avait raison. «Je crois vraiment que cela a été un grand match, a indiqué, sourire un peu triste quand même, mais beau perdant, Rafael Nadal. Je
suis heureux d'y avoir pris part, je me suis battu pour essayer de
gagner ce trophée. La seule chose que je puisse faire, c'est le
féliciter et repartir de mon côté à la maison avec beaucoup de
sentiments positifs.»
Que ce sacre que Roger Federer appelait de
tous ses vœux depuis (trop) longtemps se soit précisément dessiné face à
son meilleur ennemi «Rafa», ce dimanche sur la Rod Laver Arena de
Melbourne, le Suisse peut le voir comme un signe de plus : la légende
est toujours en marche et elle ne peut s'écrire qu'au terme de combats
d'anthologie. Cela faisait en effet dix ans qu'il n'avait plus battu
Nadal en finale de Grand Chelem. Qu'il y soit parvenu, en venant chasser
le Majorquin – de retour après trois mois loin du circuit en raison
d'une opération du poignet – sur ses terres de résistance physique et
sur son coup droit «lasso», rend le triomphe encore plus admirable.
Surtout à 35 ans, surtout pour son tournoi de reprise après six mois d'arrêt en raison d'une grave blessure au genou. «Je ne trouve pas les mots, a glissé au micro lors de la remise des prix un Roger Federer toujours submergé par l'émotion. Je
voudrais féliciter Rafa pour son incroyable come-back. Je ne pense pas
que l'un d'entre nous aurait pu penser que nous nous retrouverions en
finale de l'Open d'Australie quand nous discutions ensemble de nos
blessures il y a cinq mois de cela à Majorque [en octobre, pour l'inauguration de l'académie de Rafael Nadal, ndlr]. Et
pourtant, nous sommes là! Le tennis est un sport difficile. Il ne peut
pas y avoir de match nul mais si c'était possible, j'aurais accepté avec
joie le match nul avec Rafa ce soir. Vraiment.»
Compliqué en
effet à la sortie de cette finale d'identifier clairement le dominant et
le dominé, tant l'avantage a changé de camp plusieurs fois au cours de
la rencontre. Ainsi, lorsque Rafael Nadal a réussi le break et s'est
détaché 3-1 dans le cinquième set, parier sur les cinq jeux alors
alignés à la suite par le Bâlois aurait été l'équivalent de tenter un
tapis au poker. Et pourtant, c'est bien ce que Roger Federer a réussi
pour renverser le match et s'imposer sur une ultime attaque de coup
droit flirtant avec la ligne. «On le savait capable de pouvoir réaliser ce genre de performance, analysait dans les travées du stade Nicolas Escudé, qui a commenté la finale pour la télévision. Mais
on avait forcément un doute quant à sa capacité à le faire après une
pause aussi longue, après une quinzaine au cours de laquelle il avait
déjà sorti trois top ten, et face à Rafa revenu aussi à son meilleur
niveau, d'autant plus vu leur passif en finale de Grand Chelem...
Franchement, c'est énorme ce qu'il a fait!» «A 35 ans, c'est phénoménal, surenchérissait Arnaud Boetsch. Je vous rappelle qu'à mon époque, on nous disait : "à 35 ans vous êtes fini!" On
nous répétait ça depuis nos 20 ans. Et là, quand on voit le niveau de
jeu. Et puis courir aussi bien et être aussi "fit" tout au long d'une
quinzaine comme ça... bravo.»
Roger était tête de série n°16 au début du Grand Chelem australien et il avait une demi-finale à défendre soit 720 points et il aurait pu sortir du top 30! Il a battu en 4 sets l'Autrichien Jurgen Melzer, en 3 l'Américain Noah Rubin, en 3 le Tchèque Tomas Berdych, 10ème en début d'année, en 5 sets le Japonnais Kei Nishikori, 5ème mondial, 3 sets l'Allemand Mischa Zverev, en 5 sets le Suisse Stan Wawrinka, 4ème mondial et en finale, il a battu en 5 sets l'Espagnol Rafael Nadal, 9ème mondial. En finale, il était menè 3-1 dans la 5ème manche et il n'a plus rien lâché. Il n'avait plus gagné un GC depuis presque 4 ans 1/2 et il avait du mal à gagner en 5 sets face aux autres membres du Big Four. Grâce à ce succès australien, il grimpe à la 10ème place qu'il avait quitté 2 mois auparavant. Il a donc gagné son 18ème GC et son 89ème titre.
Merci mille Merci à Roger Federer pour cette somptueuse année 2017. Il a gagné 7 titres: 2 GC ( AO et Wim), 3 M1000 ( IW-Miami-Shanghaï) et 2 ATP 500 (Halle et Bâle). Il en est donc à 95 titres, il est 2ème à 14 titres de Jimmy Connors.Il est passé de la 16ème place à la 2ème place avec un avantage de 5000 points sur le 3ème. Il va partir en congé, 2 à 3 semaines et puis il va se préparer pour la saison 2018 afin d'être prêt dés l'AO.
Roger n'a pas réussi à battre le Belge, il s'est incliné 6-2;3-6;4-6 en 1h45. Il a fait 7 aces, le pourcentage de son premier service était de 61% et il a gagné 74% des points dessus. Pff, il avait si bien commencé, il a eu 11 balles de break, c'est râlant....
Roger va jouer contre le Belge David Goffin, 8ème au classement ATP. Ils se sont déjà joués 6 fois et Roger a gagnés les 6 dernières fois. Come on RF. Bien continuer le tournoi. Good luck.
Roger a battu (5)6-7;6-4;6-1 en 1h54 le Croate. Il a fait 17 aces, le pourcentage de son premier service était de 69% et il a gagné 77% des points dessus. Il a fait un match costaud.
Roger va jouer contre le Croate Marin Cilic, 5ème au classement ATP. Ils se sont déjà joués 8 fois et Roger a gagnés les 2 dernières fois. Come on RF. Bien continuer le tournoi. Good luck.
Roger a battu 7-6(6);5-7;6-1 en 2h12 l'Allemand. Il a fait 6 aces, le pourcentage de son premier service était de 53% et il a gagné 83% points dessus. Il a fait un match assez délicat.
Roger va jouer contre l'Allemand Alexander Zverev, 3ème au classement ATP. Ils se sont déjà joués 4 fois. Come on RF. Bien continuer le tournoi. Good luck.
Roger a battu 6-4;7-6(4) en 1h31 l'Américain. Il a fait 5 aces, le pourcentage de son premier service était de 63% et il a gagné 90% des points dessus. Il a fait un bon match de reprise.
Roger va jouer contre l'Américain Jack Sock, 9ème au classement ATP. Ils se sont déjà joués 3 fois et Roger a gagnés les 3 dernières fois. Come on RF. Bien continuer le tournoi. Good luck.
Roger a obtenu hier à Londres 3 nouveaux prix. Celui des fans pour la 15ème année consécutive!, celui du fair-play pour la 13ème fois en 14 ans! et celui du come-back de l'année pour la première fois. C'est tellement mérité. Il a donc remporté en tout ses 34-35-36ème prix.
Roger a disputé hier une exhibition à Glasgow, en Écosse contre
l'Écossais Andy Murray. Roger a gagné 6-3;3-6;10-6 en 1h32. Roger a mis
le kilt pendant 1 jeu et il l'a gagné! Il est vraiment trop chou en
kilt.
😍😍
Les jumeaux ont 10 ans aujourd'hui! ici avec toute leur famille! joyeux anniversaire à eux! 💗💗